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Quand Janette vous propose… une Journée de la Femme hors des sentiers battus

par Charles Demoulin

8 mars 2022

Janette a tenu à marquer de son soutien cette journée du 8 mars totalement dédiée aux droits de la femme. Toutefois, au lieu d’évoquer les mots maltraitance, violence, féminicide, viol, harcèlement, égalité des chances, abandon, précarité… votre magazine préféré a décidé de vous présenter des ouvrages qui, chacun à sa manière, évoque la femme d’hier ou d’aujourd’hui, jeune ou âgée, dans différents moments ou situations de son existence. Si tous ces récits sont bien évidemment l’apanage d’une plume féminine, vous en trouverez toutefois un écrit par un monsieur. Mais vous en découvrirez vite la raison.

DES FEMMES INSPIRANTES, D’AURÉLIE GODEFROY AVEC CHRISTOPHE FAURÉ CHEZ ALBIN MICHEL

Michelle Obama, Marion Cotillard, Patti Smith, Marianne Faithfull, Vandana Shiva, Lise Bourbeau, Marion Chaygneaud-Dupuy, Elizabeth Day, Brooke Medicine Eagle, Ana Maria Pérez del Campo Noriega, Amandine Roche, Marianne Williamson. Douze témoignages exceptionnels qui donnent foi en la vie.

Célèbres ou méconnues, il y a des femmes qui nous inspirent, quels que soient les domaines d’action, les générations ou les traditions. Des femmes d’exception qui révèlent une autre manière d’être au monde, de penser la nature, l’engagement, la spiritualité, les dominations, la violence.

Afin de nous livrer le récit de leur parcours exemplaire, la journaliste Aurélie Godefroy a rencontré douze d’entre elles. Douze femmes qui ont suscité chez elle admiration et gratitude. Au-delà, le psychiatre Christophe Fauré apporte à chacun de ces témoignages un éclairage psychologique qui donne la possibilité au lecteur, de s’inspirer de leurs enseignements de vie afin de trouver son propre chemin.

Si cet ouvrage se présente comme un périple dans les arcanes des mystères de la gent féminine, il démontre également qu’une révolution voit le jour au sein de notre société. Cela à travers une sagesse concrète. Un livre où chaque récit dégage une puissance exemplaire.

5 JOURS DE LA VIE D’UNE FEMME, D’EVELYNE DRESS CHEZ GLYPHE

Qui a dit qu’une femme de 70 ans n’avait plus de libido ? Actrice incontournable du cinéma français – Et la tendresse bordel ! -, Evelyne Dress veut nous faire entendre qu’à 70 ans, la plupart des femmes ont derrière elles une vie bien remplie faite d’un mariage raté, d’enfants décevants, et d’une ménopause qui a tout chamboulé.

C’est du moins ce qu’elle affirme afin de nous présenter Eva, le personnage central de ce récit adorable au possible et qui démontre, qu’à 70 ans, la vie est loin de devenir monotone, et que l’on peut encore vivre ses rêves. Ainsi Eva, femme divorcée n’ayant plus beaucoup de contacts avec ses enfants et qui se retrouve seule la veille de Noël. Toutefois, plutôt que de ressasser l’ingratitude de sa progéniture, elle jette quelques fringues dans une valise, dévale ses cinq étages, hèle un taxi, et se fait conduire à Orly.

Là, elle prend un billet pour Biarritz puis, en attendant le départ de son avion, réserve une chambre au prestigieux Hôtel du Palais. Une folie.

Il faut savoir que notre septuagénaire ne parvient pas à se mettre en tête que sa jeunesse s’en est allée peu à peu, alors qu’elle voudrait encore séduire. De préférence un homme jeune. C’est délicieusement bon.

LES ACCORDS SILENCIEUX, DE MARIE-DIANE MEISSIREL AUX ESCALES

Autour d’un piano Steinway qui a traversé le XXe siècle, les destins de deux femmes que tout sépare se rencontrent, liés par un ancien secret et l’amour de la musique.

New York. Juin 1937. Tillie Schultz perpétue la tradition familiale et entre chez Steinway & Sons afin de travailler auprès des « immortels », ces pianistes de légende comme Rachmaninov et Horowitz. Grande mélomane, son talent n’égale pas celui des maîtres qu’elle côtoie. Pour vivre de sa passion, elle ne peut que se mettre au service de ceux qui possèdent le génie qu’elle n’a pas.

Hong Kong. Septembre 2014. Xià, une étudiante chinoise, retrouve le plaisir de jouer du piano grâce à Tillie Fû et son Steinway. Elle s’autorise pour la première fois depuis un examen raté, à poser ses doigts sur un clavier afin d’interpréter pour Tillie, les airs que la vieille dame ne peut plus jouer. Si 70 ans séparent ces deux femmes, elles sont unies par une histoire commune insoupçonnée et par leur amour de la musique qui projette sur leurs vies une lumineuse beauté.

Au-delà de superbes pages musicales, vous allez, bercées par le son d’un Steinway, voyager dans l’Histoire. De la Seconde Guerre mondiale à la révolution des parapluies en passant par la révolution culturelle chinoise.

TRÈS SYMPA, DE MARCY DERMANSKY AUX PRESSES DE LA CITÉ

Avant de résumer ce roman à l’humour incisif, réécriture moderne et mordante du triangle amoureux, présentation des principaux personnages de ce récit qui s’impose comme une satire de la société américaine de l’ère post-Obama.

Un romancier narcissique en panne d’inspiration. Une divorcée sexy accro au yoga. Une étudiante en mal d’amour. Une trader ambitieuse et cynique. Un homme d’affaires en pleine crise de la cinquantaine. Un caniche abricot névrosé.

Rachel, jeune étudiante, garde souvent Princess, le caniche de Zahid, son professeur. Un prof qui a écrit un roman ayant raflé tous les prix littéraires, mais qui, depuis, est en panne sèche d’inspiration. Rachel, qui couche désormais avec Zahid, va l’inviter chez elle durant les vacances. Belle maison, beau soleil, piscine d’un bleu infini, et surtout Becca, sa mère plus que sexy qui ne résistera pas aux charmes de Zahid. Le décor est planté. La suite se passe entre débats politiques et ébats érotiques. Une suite où il est question d’argent, de sexe, de l’arrivée de Trump au pouvoir, de la situation des Mexicains, des Noirs, des moins noirs, d’une horrible famille farouchement américaine et de personnages pas toujours sympas qui se comportent de la pire des manières. Amusement garanti.

LES FAISCEAUX DE LA PEUR, DE MAUD TABACHNICK CHEZ CITY

Ce roman magique démontre le courage et la force d’une femme dans la tourmente des années sombres. Des années de terreur comme en compte malheureusement beaucoup notre Histoire. Même aujourd’hui, au XXIe siècle.

Ce récit superbement documenté nous entraîne au printemps 1937 dans cette ville des merveilles qu’est Florence. Si ce n’est qu’à ce moment, la capitale de la Toscane a perdu sa traditionnelle douceur de vivre, puisqu’un peu partout dans la « Botte », la milice de Mussolini commence à faire régner la peur.

Pour Judith, jeune femme au tempérament rebelle qui rêve de devenir écrivain et, pourquoi pas, d’aimer librement son amie Francesca, le monde s’effondre soudain lorsqu’un homme est tué sous ses yeux par une bande de fascistes. Cela sans que personne ne réagisse. Judith, qui est juive, découvre alors ce qu’est la délation, l’humiliation ou encore la lâcheté.

Pour elle, une seule solution s’impose : s’exiler en France avec sa famille. Ce sera à Paris qu’elle effectuera des rencontres qui bouleverseront sa vie. Des étudiants révoltés, des intellectuels tout comme elle exilés… et l’amour.

Alors que le monde bruisse de rumeurs de guerre, elle réalise qu’elle va devoir au péril de sa vie et de son bonheur, faire des choix difficiles.

L’AUDACE DE LA LIBERTÉ, DE KARIN HANN AUX ÉDITIONS DU ROCHER

Ce fort ouvrage de quelque 460 pages se penche sur le destin d’une visionnaire : Olympe de Gouges. Une femme du temps de la Révolution française. Une femme qui, comme l’explique l’auteure, a pâti de la misogynie phénoménale qui régnait à l’époque. Une égérie qui osait déjà revendiquer l’union libre pour les femmes, la reconnaissance des enfants nés hors mariage, le droit de vote, celui de divorcer, de mener une carrière politique, de décider pour elles-mêmes ou encore que les Noirs puissent être les égaux des Blancs. Une Olympe de Gouges qui à l’instar de Marie-Antoinette reine de France, mènera un combat sans merci pour l’émancipation de la femme.

Le 3 novembre 1793 à Paris, après plusieurs mois de détention suite à une parodie de procès, Olympe de Gouges, condamnée par le Tribunal révolutionnaire, sera la première femme à périr sous la guillotine à la suite de Marie-Antoinette. L’une était une tête folle que l’on a couronnée, l’autre une intellectuelle sans couronne.

Fille naturelle d’un élu à l’Académie française, Olympe ambitionne d’embrasser la carrière littéraire. Avec une plume se faisant acerbe, elle devint une pionnière de ce qu’on appellera ultérieurement le féminisme. Un ouvrage à l’écriture alerte superbement documenté.

LE SILENCE DES VAINCUES, DE PAT BARKER CHEZ J’AI LU

Voilà un roman résolument féministe. Un roman où l’auteure nous livre une version de l’Iliade perçue du côté de toutes ces femmes obligées de soumettre à la loi des vainqueurs. Dans les récits de guerre, la femme a rarement droit au chapitre. Un silence que l’auteure a voulu briser, donnant la voix aux… perdantes, et spécialement ici à Briséis, la fille du roi de Lyrnessos.

En quelques heures, cette reine d’une rare beauté a vu sa vie s’effondrer. Et ce en même temps que les murs de sa cité prise d’assaut par les Grecs. Son mari et ses frères ont été massacrés, et elle est devenue le trophée parmi d’autres de l’homme qui l’a conquise et jetée dans son lit contre son gré, le divin Achille.

Plutôt que de se laisser mourir, cette reine déchue va alors nous conter son histoire, celle de la femme qui a fait basculer la guerre de Troie. C’est vrai qu’après avoir dû assouvir les besoins sexuels d’Achille, elle va, par la suite, basculer dans le lit d’Agamemnon. Ce qui provoquera la célèbre colère d’Achille. La suite on la connaît.

Avec une précision et un style remarquables, l’auteure nous livre un roman original entre classicisme et modernité. Une Iliade magistrale via une formidable réécriture de la guerre de Troie au féminin.

MAMAN TU PARDONNES TOUJOURS, D’ISABELLE LAURENT CHEZ ARTÈGE

Mère de neuf enfants, dont six adoptés, l’auteure est aussi une femme d’écriture. Ce nouveau titre est celui du vécu bouleversant que toute sa famille a connu un lundi de Pentecôte 2019. Alors que ce jour est pour la communauté chrétienne un jour de joie, elle nous raconte comment son cœur de maman s’est soudain déchiré, et comment fut sa capacité à surmonter ses souffrances et tous ses questionnements.

Mais revenons à ce jour de 2019 au moment où des policiers sonnent à la porte de la maison familiale. En une seconde, le cœur de cette mère aimante va être brisé puisqu’on lui annonce le suicide de Yann, 30 ans, l’un des deux petits Philippins qu’elle avait adoptés à l’époque.

À travers mille anecdotes, Isabelle Laurent relate toute une vie pour apprivoiser, gagner la confiance et permettre à Yann de construire sa vie d’homme. Et de témoigner aujourd’hui de sa recherche de la vérité et du pardon. Pardon à soi-même pour n’avoir pas su voir et empêcher cette tragédie, pardon envers ceux qui ont pu être à l’origine de cet acte désespéré.

À chacun de puiser dans ce témoignage la façon d’apprivoiser la violence de la mort, l’absence de culpabilité et le chemin à parcourir pour recouvrer la paix intérieure.

LES SAMARITAINS DU BAYOU, DE LISA SANDLIN CHEZ BELFOND NOIR

An de grâce 1973 dans une petite ville du bayou texan. Après avoir passé quatorze années derrière les barreaux pour avoir tué l’un de ses deux violeurs, Delpha Wade retrouve la liberté. Pas facile toutefois pour une ex-taularde de récupérer un boulot. D’autant plus là où elle niche, au fin fond du Texas. Après moult déboires, elle est engagée par Tom Phelan, un gars d’origine française, un Cajun comme l’on dit là-bas, et qui se trouve en reconversion professionnelle. Pour Delpha, cette place s’avère un point de chute inespéré.

Avec discrétion et sérieux, elle se rend indispensable. Traquer les fugueurs, les menteurs, les maris infidèles, réparer les âmes cabossées, soigner les laissés-pour-compte, notre femme blessée et souillée à jamais adore ça.

Et puis, il y a ce feu de tout instant qui brûle en elle. Le désir profond et absolu de retrouver et de se venger de son second violeur. Un mec dont elle est persuadée qu’il vit caché là, quelque part, sous les épais branchages du bayou. Là où il l’attend.

Puisant dans l’atmosphère envoûtante du Vieux Sud, l’auteure tisse un premier roman noir plus que tendu, déjà lauréat de deux prix, et qui met en place des personnages à la psychologie assez complexe. Faudra parfois s’y retrouver.

LES AMANTS INTERDITS, D’ÉMILIE GOUDIN-LOPEZ CHEZ CITY

Adieu symboles, patries, nations. Cela n’avait aucun sens. La seule chose qui comptait à ses yeux était la violence et l’absolue réalité de ses sentiments.

L’auteure nous transporte dans un village de Bretagne où Irène tente de s’adapter aux privations générées par l’Occupation allemande. Malgré les difficultés du moment, cette jeune institutrice mène une existence plutôt paisible. Ce jusqu’à ce jour où le destin va l’obliger à porter aide à son voisin, un résistant recherché par la Gestapo.

Sans le savoir, la jeune femme vient de mettre le doigt dans un engrenage mortel. Car lorsque le réseau local de la Résistance lui demande d’user de ses charmes pour espionner un jeune officier allemand, Irène n’aura pas d’autre alternative que d’accepter.

Le problème, c’est que notre Irène se prend au jeu et qu’une relation pour le moins trouble, mais passionnée se noue avec cet ennemi qu’elle est censée détester. En pleine tourmente, tout va se déchaîner contre ce couple que tout sépare.

Et le lecteur de suivre le destin d’une femme écartelée entre devoir et sentiments. Un livre qui nous fait sortir de notre zone de confort et dont la fin, que je n’ai malheureusement pas lue, se découvre dans « Le monde brûle », sorti début février.

LA VIE TUMULTUEUSE DE MAY W, DE SAMANTHA SILVA AUX PRESSES DE LA CITÉ

Quel incroyable destin que celui de Mary Wollstonecraft, pionnière du féminisme et mère de Mary Shelley, l’auteure de Frankenstein ! Une femme méconnue que l’auteure a tenu à mettre en lumière.

Née durant le XVIIIe siècle, Mary W n’a guère bénéficié d’une adolescence facile. Un père dépensier, joueur et alcoolique notoire. Quant à sa mère, fatiguée de ses maternités, elle n’avait d’yeux que pour Ned, son frère. Et puis, à cette époque, l’éducation donnée aux filles n’était guère de mise.

Mais Mary n’entendait pas rester dans une certaine ignorance. Aussi, grâce à diverses rencontres, elle va forger son propre destin, suivant dès lors une trajectoire peu commune.

Mais revenons à une date d’importance dans ce récit : août 1797. Mois durant lequel Mary va donner naissance à sa seconde fille. Malgré la sérénité que Mary affiche, Madame Blenkinsop, la sage-femme est inquiète. En conversant avec Mary, elle va rapidement s’attacher à la personnalité de cette femme qu’elle découvre et trouve hors du commun. Pendant l’accouchement qui va s’avérer difficile, Mary, sur les conseils de Madame Blenkinsop, va raconter sa vie à son nouveau-né. Un récit aussi ardent que vivant. L’histoire d’une vraie combattante, d’une aventurière, d’une amante.

UN PAYS DE NEIGE ET DE CENDRES, DE PETRA RAUTIAINEN CHEZ SEUIL

Finlandaise, l’auteure, qui en est ici à son premier roman devenu par ailleurs un best-seller déjà traduit en douze langues, nous livre un récit sur bases historiques à la fois ambitieux et déroutant.

Ambitieux parce qu’il nous révèle un pan de la Seconde Guerre mondiale peu connu ou volontairement gommé des mémoires. Déroutant, parce qu’il nous fait slalomer entre deux périodes extrêmement proches l’une de l’autre, et pourtant diamétralement opposées.

1944. Au cœur des étendues sauvages de la Laponie, Olavi Heiskanen, un jeune soldat finlandais officie comme traducteur dans un camp de prisonniers dirigé par les Allemands. Camp où la cruauté est de mise.

Enontekiö. 1947. Inkeri Lindqvist, une jeune journaliste, s’installe dans la ville afin d’écrire un ouvrage sur la reconstruction de la région. Mais ce n’est là qu’un prétexte. Elle cherche à élucider le mystère qui entoure la disparition de son mari durant la guerre.

Le hasard faisant bien les choses, elle fera la rencontre d’Olavi et découvrira peu à peu tout ce qu’un peuple a subi dans la plus totale des indifférences

Si les étendues neigeuses et l’Histoire vous passionnent, alors ce roman écrit par cet ovni de Petra Rautiainen est à ne manquer sous aucun prétexte. Moi j’ai adoré.

Avec ma rédac-chef, on avait décidé de vous proposer 12 romans – un par mois, même si on est début mars – illustrant par leurs contenus le rôle des femmes à travers les histoires de l’Histoire.

Mais alors que j‘avais mis un terme à cette présentation, j’ai tout d’abord découvert un ouvrage écrit pour un homme. Ouvrage que j’estimais cadrer dans notre proposition et que j’ai tenu à mettre aussi en évidence. Enfin, il y a eu cette nouvelle revue semestrielle qui se veut le mook amoureux du cinéma français et francophone et qui parlait de 50 jeunes réalisatrices de cinéma. Du coup…

UN ENFANT DE TOI, DE DIMITRI VAN SPRANG CHEZ MLL

Voici l’intrus puisqu’écrit par homme. Un roman qui s’inscrit comme une plongée intime dans le désir de paternité d’un homme ne parvenant pas à être père. Une invitation à suivre l’itinéraire d’un couple confronté à la stérilité masculine. Un couple que ce diagnostic pourrait fissurer. Cela tant cet homme va culpabiliser de ne pas rendre mère son épouse.

Adrien et Louise forment un couple harmonieux. Trentenaires, tout leur sourit. Entourage familial aimant. Carrière réussie. De vrais amis. Seul regret, l’absence d’un enfant. Après moult consultations, le verdict est implacable : c’est Adrien qui est stérile.

Avec les mots qu’il faut là où il faut, avec humour et tendresse, c’est au cheminement d’un homme pris dans la tourmente que nous assistons.

Un Adrien qui entre passé et présent livre ses doutes, sa douleur via les échecs des traitements, ses errances émotionnelles et sensuelles, son découragement. S’il ne peut avoir d’enfant, que reste-t-il de l’homme qu’il est et du lien qui l’unit à Louise ? Et Louise, est-elle prête à renoncer à la maternité ? Alors qu’il ne reste plus d’espoir, Adrien va faire une rencontre qui le bouleversera.

Un voyage à travers des choses graves avec humour, sensibilité et même une pointe d’autodérision.

FRENCH MANIA N°3, AUX ÉDITIONS DU ROCHER

En ce jour du 8 mars, journée internationale du droit des femmes, ce magazine sort son n°3 où l’on découvre un dossier spécial consacré à 50 réalisatrices francophones de moins de 40 ans, dont certaines sont déjà plébiscitées par les festivals les plus prestigieux et par le public.

On pense tout spécialement à Julia Ducournau, Mati Diop, Mélanie Laurent ou encore Maïmouna Doucouré. Quant aux autres, elles débutent, mais leurs débuts sont réellement prometteurs.

Du coup, on vous en parle aussi.

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