Après deux ans d’absence en raison de la pandémie, Multikulti fait son retour à Differdange, mais sous un autre nom. Qu’est-ce qui a changé ?

Multikulti a été rebaptisé cette année Festival des cultures, histoire d’être plus inclusif. Mais les objectifs sont toujours les mêmes : valoriser la centaine de nationalités présentes au sein de notre commune, mais aussi mettre en avant l’engagement des associations locales qui œuvrent en ce sens tout au long de l’année. Et puis bien sûr, favoriser le vivre ensemble, en misant sur la fête et la convivialité, vraiment nécessaires après les mois passés !

A quoi le public doit-il s’attendre ?

Quoi de mieux que la musique ou la cuisine pour réunir les gens ? Les visiteurs pourront goûter aux différentes cultures en découvrant leur gastronomie, mais aussi écouter leurs musiques et danser ensemble. Cette année, il y aura beaucoup de sonorités cubaines, avec de la samba, de la salsa, mais aussi du fado bien sûr. Les gens pourront apprécier les groupes présents sur scène en sirotant une caïpirinha, puis participer à des workshops avec leurs enfants, par exemple.

Le festival semble être axé sur les familles ; dites-nous en un peu plus sur le programme. 

Tout le monde est le bienvenu ! D’un côté, il y aura tous les stands de cuisine, tenus par des représentants des différents pays qui font notre ville, comme le Portugal, l’Italie, le Monténégro, le Cap-Vert ou encore la Côte d’Ivoire. Les tables pour manger seront entourées de scènes, sur lesquelles des concerts se succèderont. Puis dans la zone piétonne, place aux animations et aux workshops. Les familles pourront jouer à des jeux de société issus des quatre coins du monde, se déguiser en tenues traditionnelles de pays étrangers pour prendre la pose face à l’objectif, suivre un cours de peinture avec Nelson Neves, un artiste cap-verdien en résidence à Differdange… Bref, il y aura beaucoup à faire et à découvrir et ça va casser la baraque !