Les facteurs pris en compte ont été répartis dans les sept catégories suivantes : le nombre de langues officielles, le degré de multilinguisme, l’apprentissage des langues à l’école, le niveau de maîtrise de la langue étrangère la plus connue, l’accès à l’apprentissage des langues par la technologie, les sous-titres et la voix off, et la diversité linguistique. Les résultats de chaque catégorie ont été pondérés de manière égale et chaque pays s’est vu attribuer un classement global de 1 à 30 en fonction de ses scores.

Le Luxembourg occupe la première place du classement, avec un score parfait de dix dans trois des sept catégories. La Suède et Chypre suivent de près en deuxième et troisième position, tandis que Malte, le Danemark, les Pays-Bas, la Finlande, la Slovénie, l’Espagne et l’Estonie figurent tous dans le top 10. La Belgique se classe 11ème, l’Allemagne 16ème et la France occupe la 22ème place. En bas de la liste, les États-Unis terminent 30ème en queue de peloton, juste derrière l’Italie.

La recherche révèle également que les sous-titres sont l’un des moyens les plus efficaces d’améliorer l’apprentissage d’une langue étrangère en offrant une triple connexion entre le son, la langue et le texte. Contrairement au doublage et à la voix-off, les sous-titres nécessitent un engagement de la part du spectateur. Ils améliorent également notre compréhension phonétique – ce qui renforce notre capacité à identifier les différents accents. Cela explique pourquoi une poignée de pays de l’étude, tels que les Pays-Bas, la Finlande et l’Estonie, se classent globalement très bien, malgré le fait que relativement peu d’enfants apprennent une langue étrangère à l’école primaire.

Source : Preply