Depuis le 19 décembre 2011, date à laquelle l’Assemblée générale des Nations Unies a instauré une Journée internationale de la fille, chaque année, le 11 octobre rappelle les droits fondamentaux, les obstacles que chacune doit affronter, les inégalités auxquelles chaque petite Janette doit faire face et ce, particulièrement dans les pays à faible revenu.

« Dans le monde, les filles âgées de 5 à 14 ans consacrent chaque jour 160 millions d’heures de plus que les garçons du même âge aux soins non rémunérés et au travail domestique. »

Selon les Nations Unies.

Sécurité, éducation, santé, durant l’enfance, l’adolescence ainsi qu’à l’âge adulte, sont des droits fondamentaux dont chaque Janette devrait bénéficier et ce, peu importe le pays dans lequel elle est née, elle vit. Parce que les filles sont les femmes de demain, il s’avère essentiel de rappeler à quel point leur fournir soutien, éducation tout en encourageant leur autonomie peut leur permettre de connaître un avenir plus juste, plus équitable.

« Près d’une adolescente mariée/partenaire sur quatre âgée de 15 à 19 ans a subi des violences physiques ou sexuelles de la part d’un partenaire intime au moins une fois dans sa vie. »

Selon les Nations Unies.

Mais comment chaque Janette peut-elle agir à son échelle ?

Les Nations Unies encouragent tout un chacun à partager l’histoire de jeunes filles qui oeuvrent au quotidien pour changer le monde afin d’inspirer celles qui voudraient à leur tour passer à l’action.

C’est aussi en engageant des femmes influentes dans tous les secteurs d’activité, véritables leaders, mais surtout exemples, que les mentalités évolueront positivement.

Des petites actions concrètes pour construire, pas après pas, leur avenir. Ne dit-on pas que ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières ?