Ce roman est le premier qu’écrit Cécile Pardi. Une dame qui vit la moitié du temps dans une ferme en Alsace, où elle s’occupe de chevaux, et l’autre à Bâle, en Suisse, où elle enseigne. À tenter d’en connaître un peu plus sur cette personne, j’ai découvert qu’elle avait créé le mouvement MBM ou, si vous préférez : Mission-Bonheur-Bilatéral.

Et c’est vrai qu’à lire ‘Les semeurs de bonheur’, on comprend que non seulement Cécile Pardi aime semer la joie autour d’elle, mais que rendre les autres heureux, ça la rend aussi heureuse. De plus, cerise sur le gâteau, elle adore les animaux. La preuve, ce petit chien, héros d’un récit qui se veut un concentré de positivité afin de redonner du tonus à ceux et celles qui broient du noir. Émouvant tout en faisant du bien, cet ouvrage nous raconte la vie de Perrine, une dame aux abords de la cinquantaine qui un jour s’est retrouvée au chômage. Une Perrine qui n’aurait jamais imaginé qu’un petit chien en piteux état allait pouvoir la sortir d’une grave dépression. Mieux même, qu’en ramenant chez elle cet animal abandonné sur la route, elle sortirait de sa solitude et se lancerait dans des missions de ‘don du bonheur’.

Une nouvelle façon de concevoir la vie et qui, rapidement, transformera non seulement celle-ci, mais aussi celles des autres. Un moment de pur bonheur tant il est vrai qu’un p’tit câlin, ça fait du bien.